Tout comme l'an dernier, je prends l'habitude de
faire un bilan hebdomadaire de cette course contre la montre qu'est le
NaNoWriMo. Pour rappel, l'objectif est d'écrire un roman de 50 000 mots
en un mois. Et pour une fois je suis une NaNo exemplaire puisque je
travaille sur un vrai roman que je n'avais pas commencé avant intitulé Les Charognards.
Pour suivre mon avancée, j'ai mis un compteur NaNo sur le blog (à votre droite) ou bien vous pouvez voir mes statistiques sur mon profil NaNo.
Je suis à peine à la bourre pour le bilan de la 3ème semaine ! Alors, j'ai donc poursuivi avec un très bon rythme. J'avance vraiment très vite pour moi, ce qui ne m'était jamais arrivé. Preuve que j'ai de bonnes habitudes cette année mais aussi que l'histoire s'y prête. C'est la première fois que j'ai un scénario aussi basique aussi. C'est du survival, une fois le contexte bien défini en préparation du NaNo, je n'ai qu'à m'aider de Google Earth pour l'avancée et de quelques recherches mineures. Je dois dire que c'est assez reposant et que je m'éclate bien.
Dimanche j'ai fêté mon anniversaire mais malgré le champagne j'ai pu faire mon quota de mots XD En revanche le samedi est un jour sans écriture. Vu que j'arrive à conserver mon avance cela ne me dérange pas !
Pour suivre mon avancée, j'ai mis un compteur NaNo sur le blog (à votre droite) ou bien vous pouvez voir mes statistiques sur mon profil NaNo.
Je suis à peine à la bourre pour le bilan de la 3ème semaine ! Alors, j'ai donc poursuivi avec un très bon rythme. J'avance vraiment très vite pour moi, ce qui ne m'était jamais arrivé. Preuve que j'ai de bonnes habitudes cette année mais aussi que l'histoire s'y prête. C'est la première fois que j'ai un scénario aussi basique aussi. C'est du survival, une fois le contexte bien défini en préparation du NaNo, je n'ai qu'à m'aider de Google Earth pour l'avancée et de quelques recherches mineures. Je dois dire que c'est assez reposant et que je m'éclate bien.
Dimanche j'ai fêté mon anniversaire mais malgré le champagne j'ai pu faire mon quota de mots XD En revanche le samedi est un jour sans écriture. Vu que j'arrive à conserver mon avance cela ne me dérange pas !
Bilan de la 3ème semaine (donc dimanche soir) :
38 372 mots
38 372 mots
Je vous laisse sur un extrait ^^ Attention, il n'y a eu AUCUNE relecture, NaNo oblige.
"Caitlyn se
réveilla au contact de l’eau fraîche. Son corps assoiffé entrouvrit ses lèvres
pour accueillir le breuvage tant attendu. Le liquide lui piqua ses lèvres
gercées au passage et sembla enflammer sa gorge irritée. Elle toussa et manqua
tout recracher. Ce geste fit alors bouger le canoë qui tangua d’un côté puis de
l’autre. Cette instabilité la força à ouvrir les yeux. La luminosité agressa
aussitôt ses rétines tout en accentuant son mal de crâne auquel elle était
pourtant habituée.
Je ne suis pas morte, réalisa-t-elle
soudain.
Cette
constatation faillit la faire éclater en sanglot tant elle avait eu peur de ne
jamais se réveiller. Elle avait parfaitement senti les battements de son cœur
ralentir, peinant à alimenter ses autres organes. Elle s’était sentie partir,
une impression aussi douloureuse qu’effrayante.
L’esprit embrumé,
la jeune femme se redressa péniblement sans parvenir à retenir ses gémissements
de douleur. Elle avait la terrible sensation que ses bras allaient se briser et
son cœur s’arrêter définitivement de battre. Une telle constatation ne fit
qu’alimenter sa détresse.
« Ne
t’agite pas trop ou on va chavirer », indiqua Liam, assis face à elle.
Il ramait tout
seul, la narguant avec son corps énergique et en bonne santé. Soudain, l’image
de Dorian, famélique, au teint grisâtre, s’imposa à son esprit. Allait-elle à
son tour mourir de faim et d’épuisement ? Sa seule envie actuelle était de se rallonger et
de dormir pour occulter la douleur. Malgré tout, elle se positionna sur son
banc, face à son équipier et non dans le sens de navigation et but encore dans
la gourde posée à ses pieds. Sa bouche engourdie avait du mal à avaler mais au
moins sa gorge se trouvait déjà moins irritée.
« Prends
un truc à bouffer dans mon sac, lui proposa alors le Charognard.
— Je risque de
tout vomir, répondit-elle d’une horrible voix enrouée.
— On dirait
que t’as le mal de mer. »
Le
courant de la rivière était si lisse que la jeune femme eut un petit rire qui
se transforma en quinte de toux ravageuse."
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